auteurs

patxi bergé
à + ou – #30, auf genau #31, das ist da #32, on se marre en se racontant des histoires de lune verte… #34, #35,
ich habe ein gefühl #37

benoist bouvot / a-chroniques
ou quelques paroles… #13, lecture à vous #14, les avions n’attendent personne #15, injustice et historicité #16, sans preuve par trois #18, passage / weg #20, bruit #22, écoutes #23, auto-re-productions #24, les oiseaux chantent de plus en plus juste #25, c’est l’amour à la plage #26, summer postcard #27, musiques et pouvoirs #28, microchiroptera #29, de la télécommande au fusil d’assaut #30, best of #31, muzak #32, le futur était au début de l’autoroute #33, crépuscule sonore #35, another summer postcard #36, # morceau choisi # copyright # propriété intellectuelle #37, mémoire de masse #38, le silence des chouettes #39, icosaèdre ou les faces de l’écoute #40, les chansons d’amour finissent #41, des frontières et du vent #42, il est souvent triste d’entendre qu’on a peur #43, retrouver un enchantement par l’imperfection et le chaos ? #44, sabotage. ne dites jamais  » vas-y mets du son !  » #45, les étendues d’ellen arkbro #46, cadrage sonore, l’anarchie silencieuse #47, dynamiques miroirs #48, générer, de l’outil transparent à l’instrument accidentel #49, l’enveloppe ou le son de Schrödinger #50

laurent goumarre / i’m back
#1, #2, #3, #4, #5, #6, #7, #8, #9, #10, #11, #12, #13, #15, #16, #17, #18, #19, #20, #22, #23, #24, #25, #26, #27, #28, #29, #31, #32, #33, #34, #35, #36, #37, #38, #39, #40, #41, #42, #43, #44, #45, #46, #47, #48, #49, #50

marie reverdy / la dramatique vie de marie r.
backstage #10, c’est tout vu #11, bleu citron #12, post-comédie #13, rideau #14, c’est quoi la dramaturgie ? #29, structuralisme et hygiène spectatorielle #30, commémophilie #31, me fais pas rire j’ai les dents jaunes #32, la dramatique vie de marie r. #33, sans incipit et sans vergogne ! #34, j’ai vomi mon beefsteak… #35, un dernier verre avant la rentrée ! #36, #37, on a qu’à les enlever ! point barre ! #38,  plus dure sera la chute ! #39, le conditionnel et l’angoisse #40, est-ce que tu viens pour les vacances ? #41, rodrigo… #42, la dramatique vie sexuelle de marie r. #42_2, une chatte n’y retrouverait pas ses petits… #44, #45, diderot et la farce #46, allergie et dramaturgie #47, petit mail nocturne à cyprien deve #49, ce qui est dramatique, surtout, c’est que je n’ai rien à dire… #50

dominique rochet / silhouette
dans la cage #26, le tunnel #27, odalisque #28, du côté de balbec, temps incertain #29, feu de camp #30,
the birthday party #31, chiens de diamant #32, going underground #33, monkey business ! #34, on est pas des veaux #35, la disparition, Trotsky (2004-2014) #36, Mr Fox #37, prendre la lumière #38, rock transgenre ! #39, geek dandy #40, pull en bombe ! #41, black tie massacer #42, amour en cage #43, bluebell wood #44, the get down #45, dog’n dandy #46, portrait de maître #47, transfusion #48, stop making sense #49, pretty in pink #50

corinne rondeau
déjà vu #11, on n’y voit plus rien #12, entre terreur et consensus #13, post-frontière #14, à propos d’un baiser
sur une toile blanche #15, faire de la critique I #16, faire de la critique II #17, des images aux écrans #18, à l’arrière de l’avant-garde #20, les derniers mots d’une image #21, l’amour de l’art #22, métaphysique à la sulfateuse # 24, pour en finir avec le graal de l’ange et du marteau-piqueur #25, montagnes russes #26, un critique court sur le pont neuf #28, t’y crois pas #28, le présent sans the kooples #29, laocoon culture #30, look back #31, et hop ! #32, monogame #33, triviale poursuite #34, la minute papillon #35, la peinture ou comment se foutre cul nu ? #36, kubrick’s cube #37, l’histoire d’une ombre #38, enchanté ! #39, contre nature #40, le tombeau vivant de chantal akerman #40_2, de la performance #41, dis-moi ton horizon, je te dirai tes limites#42, d’un portrait #43, l’ombre d’un rêve #44, 4 2 1 #45, tout ce que nous savons… #46, lacrhimae antiquae novae #47, altéré par la lumière #48, un historien sorti du placard #49, est-ce qu’on peut dire la solitude ? #50, la femme immobile #51
« Pasolini en clair-obscur » à la Villa Sauber, Monaco ou « L’attente d’une renaissance »