un peu
Un peu plus que ça en fait, et notamment grâce à cette huile et les quelques superbes gouaches montrées dans la deuxième salle de Beaubourg même si, au prix de nombre d’images peintes, l’exposition atteste définitivement de l’appartenance de Magritte au cercle des conceptuels.
beaucoup
l’incarnation d’AnnLee avec l’aide de son charmant Prince dans la salle même où Philippe Parreno l’avait animée il y a 3 ans ; nous sommes alors témoins d’une écriture des plus précises de Tino Sehgal magiquement interprétée. Énorme bémol néanmoins, cette précision et cette écriture nous en serons aussi les acteurs, voire les victimes, tant le metteur en scène et en espace maîtrisant autoritairement notre passage dans son Palais de Tokyo.
passionnément
la jubilation supposée de Jean-Luc Moulène – et donc la notre – à découvrir de nouveaux outils, à travailler d’étonnantes matières, à créer, expanser ou mutiler des formes, à croiser art, science et technologie, à hybrider l’intelligence de poésie sans peur de la beauté. C’est au Centre Pompidou juste à côté des finalistes du Prix Duchamp et là c’est une autre histoire.
à la folie
ne rien faire mais bien accompagné, grignoter des travers de porc avec Coco, siroter un Côtes du Rhône avec Catherine au Féria Café (tu le crois ça), un Côtes de plus avec Jean-Marc et Christelle au Café de la Mairie (et ça, non ?), un allongé avec Dominique avant qu’il ne rejoigne son mari, s’en griller une avec Emmanuel, déguster un Opéra en compagnie de Sylvie et Carlotta, rire et médire avec Laurent.
pas du tout
le goût amer d’une décadence produite et de la médiation qu’elle construit.